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Explication des problèmes de violence de la part des bénéficiaires et des questions d'accidents du travail et de dommages et intérêts dans le domaine des soins aux personnes âgées

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Explication des problèmes de violence de la part des bénéficiaires et des questions d'accidents du travail et de dommages et intérêts dans le domaine des soins aux personnes âgées

La violence de la part des usagers dans le domaine des soins est un problème grave. Elle impose un lourd fardeau physique et mental sur le personnel soignant. En particulier, les actes de violence émanant d’usagers souffrant de maladies telles que la démence sont difficiles à prévoir et il n’est pas rare que le personnel soignant subisse des dommages physiques et psychologiques.

Face à de telles violences, des questions de compensation pour accident du travail ou de dommages et intérêts peuvent se poser, impliquant plusieurs lois et systèmes. Une stratégie globale, incluant le soutien de l’établissement et une réponse juridique, est nécessaire pour faire face à la violence dans le domaine des soins. La gestion des risques pour prévenir la violence et l’amélioration de l’environnement de travail sont également des éléments cruciaux.

Cet article détaille la réalité de la violence, la possibilité de reconnaissance en tant qu’accident du travail ou de demandes de dommages et intérêts, ainsi que des mesures de prévention et de réponse spécifiques. Utilisez-le comme une ressource pour protéger la sécurité et la tranquillité d’esprit du personnel et des établissements.

La réalité de la violence dans le milieu des soins au Japon

Dans le secteur des soins au Japon, la violence prend diverses formes et a un impact sérieux sur la santé physique et mentale du personnel. Ces actes de violence vont de la violence physique à la violence psychologique, en passant par la violence sexuelle. Nous allons détailler ci-dessous la réalité de chaque type de violence.

La violence physique sous le droit japonais

La violence physique représente une menace sérieuse pour le personnel soignant et peut prendre de nombreuses formes. Par exemple, les cas suivants peuvent être cités :

  • Être frappé par un usager en colère
  • Recevoir un coup de pied
  • Se faire pincer le bras
  • Être griffé au visage ou au cou

Il arrive que le personnel subisse de telles attaques directes de la part des usagers des établissements. Ces actes peuvent causer des blessures physiques telles que des ecchymoses ou des coupures, et sont extrêmement dangereux. Il n’est pas rare non plus que des objets soient lancés. Par exemple, de la vaisselle utilisée lors des repas, des télécommandes ou des cannes peuvent être jetées. Être violemment tiré par les vêtements constitue également une forme de violence physique.

Il existe également d’autres cas, tels que :

  • Être soudainement frappé par un usager pendant l’assistance au bain, entraînant des blessures au visage
  • Recevoir des plats lancés par un usager mécontent lors de la distribution des repas, causant des coupures au bras
  • Ressentir une douleur au cuir chevelu après avoir été tiré par les cheveux par un usager perdant l’équilibre lors du transfert vers un fauteuil roulant

La violence physique ne cause pas seulement une douleur corporelle au personnel, mais peut également entraîner une grande souffrance psychologique. Les employés victimes de violence peuvent être tourmentés par la peur et l’anxiété, et développer un trouble de stress post-traumatique (TSPT). Cela peut diminuer leur motivation au travail et conduire à la démission dans certains cas.

La violence psychologique sous le droit japonais

La violence psychologique, contrairement à la violence physique, est moins visible et donc souvent sous-estimée. Cependant, elle peut laisser des cicatrices profondes dans l’esprit des employés et causer une souffrance à long terme.

Les injures verbales en sont un exemple typique. Être la cible de mots qui nient la personnalité ou d’insultes peut blesser l’estime de soi des employés et entraîner une baisse de la confiance en soi.

Une attitude ou un comportement intimidant constitue également une forme de violence psychologique. Être crié dessus ou intimidé par des regards peut faire en sorte que les employés se sentent réduits et éprouvent de la peur. Dans de telles circonstances, il devient difficile de juger calmement, ce qui peut diminuer la qualité des soins prodigués.

Être soumis à des demandes déraisonnables de manière répétée peut aussi être une source de stress psychologique pour les employés.

  • Des ordres donnés sur un ton impératif tels que « Apporte-moi ça » ou « Fais-le maintenant »
  • Des appels à toute heure de la nuit sans considération

Ces exigences peuvent épuiser physiquement et mentalement les employés. En essayant de répondre continuellement à ces demandes, ils peuvent accumuler un stress excessif et perdre leur équilibre mental et physique.

Voici quelques exemples concrets :

  • Un cas où un employé a été insulté par un bénéficiaire refusant l’aide au bain, avec des mots tels que « inutile » ou « tu ferais mieux de démissionner »
  • Un cas où, pendant un service de nuit, un employé a été appelé à plusieurs reprises par le système d’appel infirmier et s’est fait crier dessus à chaque fois avec des phrases comme « Viens plus vite » ou « Tu m’empêches de dormir »
  • Un cas où un employé a été constamment réprimandé pour une petite erreur et insulté avec des phrases telles que « Tu n’es même pas capable de faire ça ? » ou « Tu es viré »

La violence psychologique est difficile à comprendre pour les autres et il n’est pas rare que les employés victimes la gardent pour eux. Certains peuvent se blâmer en pensant « Est-ce de ma faute ? », mais il est essentiel de reconnaître que ce n’est pas le cas. La violence psychologique est un comportement problématique du côté de l’agresseur et ne devrait jamais être tolérée.

Violence sexuelle sous le droit japonais

La violence sexuelle est un acte ignoble qui porte gravement atteinte à la dignité du personnel soignant et peut causer des dommages profonds tant physiques que psychologiques. Un contact physique inapproprié est un exemple typique.

Voici quelques cas qui peuvent être cités :

  • Toucher le corps plus que nécessaire lors des soins
  • Enlacer ou exiger un baiser
  • Toucher le corps dans un but sexuel

Ces comportements correspondent à de la violence sexuelle. Ils peuvent provoquer chez le personnel un sentiment de dégoût ou de peur et devenir une source de traumatisme.

Les propos et comportements obscènes constituent également une forme de violence sexuelle. Lancer des paroles à connotation sexuelle ou faire des blagues indécentes peut causer un malaise chez le personnel et lui infliger une souffrance psychologique. De même, montrer des images ou des vidéos à caractère sexuel est une forme de violence sexuelle. Cela viole non seulement la dignité du personnel mais contribue aussi à détériorer l’environnement de travail.

L’exigence d’actes sexuels est également un problème grave qui ne peut être ignoré.

  • Exiger des actes sexuels
  • Demander des services sexuels

Ces actes sont une négation de la personnalité du personnel et ne doivent en aucun cas être tolérés. Ils peuvent causer de graves dommages psychologiques au personnel et conduire à des troubles mentaux tels que le SSPT (syndrome de stress post-traumatique).

En outre, voici des exemples concrets :

  • Cas où un soignant est touché ou reçoit des paroles à caractère sexuel de la part d’un bénéficiaire pendant l’aide au bain
  • Cas où un soignant à domicile est contraint à des actes sexuels par un bénéficiaire

La violence sexuelle est souvent tue par les victimes en raison de la honte et de la peur. Cependant, elle ne doit jamais être tolérée.

Le milieu des soins doit être un lieu où les bénéficiaires et le personnel établissent une relation de confiance et se respectent mutuellement. La violence sexuelle détruit cette relation de confiance et nécessite une réponse ferme.

La violence dans le milieu des soins et la reconnaissance des accidents du travail au Japon

La violence dans le milieu des soins est un problème grave qui peut avoir un impact profond sur la santé physique et mentale du personnel, et peut également être une cause de démission. Au Japon, les dommages résultant de telles violences peuvent être reconnus comme des accidents du travail.

Les blessures dues à la violence physique, tout comme les dommages psychologiques causés par des insultes ou du harcèlement sexuel, peuvent être reconnus comme des accidents du travail au Japon si certaines conditions sont remplies. Nous allons expliquer en détail chacun de ces cas.

Les blessures dues à la violence physique

Dans le milieu des soins, il n’est malheureusement pas rare que le personnel subisse des violences de la part des bénéficiaires, entraînant des blessures. Cependant, au Japon, ces blessures résultant de la violence des bénéficiaires peuvent être reconnues comme des accidents du travail.

Les critères de reconnaissance d’un accident du travail sont la nature professionnelle de l’incident et le lien de causalité avec le travail. La nature professionnelle concerne le fait que la blessure se soit produite pendant le travail, tandis que le lien de causalité examine si la blessure est liée au travail. Si un soignant est blessé par la violence d’un bénéficiaire, ces critères sont remplis.

En d’autres termes, si vous êtes blessé par la violence d’un bénéficiaire pendant le travail, il est très probable que cela soit reconnu comme un accident du travail au Japon. Si l’accident est reconnu, vous pourriez bénéficier de la prise en charge des frais médicaux et d’une indemnisation pour perte de revenus, ce qui peut alléger le fardeau économique du personnel.

La reconnaissance des accidents du travail est effectuée par l’Inspection du travail, et toutes les demandes ne sont pas nécessairement acceptées. Cependant, gardez à l’esprit que les blessures dues à la violence des bénéficiaires ont une forte probabilité d’être reconnues comme des accidents du travail. Pour créer un environnement de travail sûr et permettre au personnel de se concentrer sur leur travail, il est essentiel de tirer activement parti du système d’accidents du travail.

Les dommages psychologiques dus aux insultes ou au harcèlement sexuel

Dans le milieu des soins, les violences ne sont pas seulement physiques ; les insultes ou le harcèlement sexuel, qui sont des formes de violence psychologique, constituent également un problème sérieux. Ces violences invisibles peuvent profondément blesser l’esprit du personnel et conduire à des troubles mentaux tels que la dépression ou des troubles d’adaptation. Ces dommages psychologiques peuvent également être reconnus comme des accidents du travail au Japon si certaines conditions sont remplies.

Les conditions pour la reconnaissance d’un accident du travail en cas de trouble mental sont les suivantes :

  • Que le trouble mental diagnostiqué soit éligible
  • Qu’il soit reconnu qu’il y a eu un stress mental important lié au travail dans les six mois précédant l’apparition du trouble
  • Qu’il ne soit pas reconnu que le trouble est apparu en raison de facteurs extérieurs au travail

En particulier, dans le cas de troubles mentaux causés par des violences psychologiques telles que des insultes, il est crucial de prouver le lien de causalité avec le travail. Il faut collecter des preuves objectives, comme des enregistrements d’insultes ou des témoignages de collègues ou de supérieurs, pour démontrer qu’il y a eu un stress mental important lié au travail.

Il peut sembler difficile d’obtenir la reconnaissance d’un accident du travail pour des violences psychologiques car elles sont moins visibles. C’est pourquoi il est important de consulter des institutions spécialisées ou des avocats pour avancer dans les démarches appropriées.

Pour créer un environnement de travail où le personnel de soins peut travailler en toute sécurité, il est essentiel que les employeurs portent une attention particulière non seulement à la violence physique, mais aussi à la violence psychologique, et qu’ils prennent les mesures appropriées.

Les problèmes de dommages-intérêts face à la violence des usagers dans le secteur des soins sous le droit japonais

L’assurance accidents du travail au Japon offre une certaine compensation aux employés pour les blessures ou maladies survenues pendant le travail, mais elle ne couvre pas tous les dommages subis. En particulier, les dommages moraux tels que la détresse psychologique causée par la violence des usagers ne sont pas compensés par l’assurance accidents du travail. Dans de tels cas, le personnel victime de violence peut obtenir un complément de compensation par le biais d’une demande de dommages-intérêts.

Une demande de dommages-intérêts est une action visant à obtenir réparation des dommages de la part de l’auteur, mais même en cas d’accident du travail, elle est possible sous certaines conditions.

Les fondements d’une demande de dommages-intérêts pour la violence des usagers reposent sur deux éléments : l’accident causé par un tiers et la violation de l’obligation de précaution de sécurité.

Un accident causé par un tiers fait référence à un accident du travail dont la cause est l’acte d’un tiers (dans ce cas, l’usager). La violence de l’usager étant concernée, il est en principe possible de demander des dommages-intérêts à l’usager. Si l’usager n’a pas la capacité de responsabilité, sa famille ou d’autres personnes ayant un devoir de surveillance peuvent être tenues responsables.

De plus, si l’établissement a violé son obligation de précaution de sécurité, l’entreprise peut être sujette à une demande de dommages-intérêts. L’obligation de précaution de sécurité est le devoir de l’employeur de prendre les mesures nécessaires pour protéger la sécurité et la santé de ses employés.

Par exemple, si l’employeur était au courant de la tendance violente d’un usager sans prendre les mesures appropriées, cela pourrait être considéré comme une violation de l’obligation de précaution de sécurité, alors soyez vigilant.

Six mesures contre la violence dans le domaine des soins au Japon

La violence envers le personnel par les bénéficiaires des soins et leurs familles dans le domaine des soins au Japon est un problème grave qui affecte non seulement la santé mentale et physique des employés, mais entrave également la fourniture de soins de qualité. Pour les prestataires de soins, il est essentiel d’adopter des mesures globales pour traiter ces problèmes et assurer un environnement de travail sécurisé pour le personnel.

Ci-dessous, nous détaillons six mesures particulièrement importantes pour répondre et prévenir la violence dans le domaine des soins au Japon.

Création d’un plan de soins individualisé

Le plan de soins individualisé est un plan de soins élaboré en fonction de l’état et des besoins de l’utilisateur, et joue un rôle crucial dans la réponse et la prévention de la violence.

Le plan doit consigner en détail l’état physique, les fonctions cognitives, l’état psychologique de l’utilisateur, ainsi que les antécédents de comportements violents, et inclure des mesures de réponse spécifiques. Par exemple, si certaines situations ou stimuli sont susceptibles de déclencher des actes de violence, le plan intégrera des ajustements de l’environnement et des méthodes de communication pour les éviter.

Il est également essentiel d’évaluer régulièrement les changements d’état de l’utilisateur et de réviser le plan selon les besoins.

Ajustement de l’environnement

L’ajustement de l’environnement est une mesure cruciale pour augmenter le sentiment de sécurité des utilisateurs et pour réduire les actes de violence. Il est nécessaire de faire preuve de créativité avec l’éclairage, le son, la température et l’agencement des meubles afin de créer un espace où les utilisateurs peuvent se détendre et passer leur temps confortablement.

Il est également essentiel de s’assurer que les voies d’évacuation d’urgence sont bien définies et que les utilisateurs et le personnel peuvent évacuer en toute sécurité en cas de besoin.

Communication

La communication est le fondement de la construction d’une relation de confiance avec les utilisateurs et de la prévention des actes de violence. Il est essentiel d’écouter attentivement les paroles des utilisateurs et d’adopter une attitude empathique.

Il est également efficace d’encourager les utilisateurs à comprendre leurs émotions et à les exprimer avec les mots appropriés. Conserver un enregistrement des communications avec les utilisateurs et le partager avec les autres membres du personnel peut aider à rechercher des méthodes de communication plus efficaces.

Formation du personnel

Il est crucial de réaliser régulièrement des formations pour le personnel afin de prévenir et de gérer les situations de violence et d’agressions verbales. Ces formations permettent d’apprendre la politique de base et les principes fondamentaux de l’organisation face à la violence.

À travers l’examen de cas pratiques et le partage de stratégies de réponse, adapter les actions au contexte spécifique des usagers contribue à prévenir divers incidents.

Enregistrement et Rapport

En cas d’incident de violence, il est crucial d’enregistrer en détail la date, le lieu, la situation et les mesures prises. Il est également important de consigner les changements d’état des usagers et les soins prodigués afin d’analyser la corrélation avec les actes de violence. Le partage des enregistrements des incidents de violence entre le personnel est essentiel pour une réponse organisationnelle efficace.

Les informations enregistrées doivent être partagées parmi le personnel pour mener à une réponse organisée. Pour cela, il est nécessaire de rapporter les incidents de manière appropriée. Les rapports doivent être faits rapidement aux supérieurs ou aux gestionnaires, en communiquant les faits avec précision. La communication orale, ainsi que le partage des enregistrements, permettent une transmission d’informations plus exacte.

Des enregistrements précis et des rapports rapides ne contribuent pas seulement à la prévention de la récidive de la violence, mais aussi à la sécurité du personnel et à la fourniture de soins appropriés aux usagers.

Réponse organisationnelle

Une réponse organisationnelle est essentielle pour avancer efficacement dans la gestion et la prévention de la violence. Laisser la discrétion des réponses individuelles aux employés lorsqu’un incident violent se produit peut augmenter le risque d’aggravation de la situation.

Si un employé concerné garde le problème pour lui seul, la violence ou les exigences peuvent s’intensifier, menant à une situation encore plus grave. De plus, si une réponse appropriée n’est pas apportée et que le problème est négligé, cela peut non seulement augmenter le risque de démission du personnel, mais aussi exposer l’établissement à des accusations de manquement à son obligation de précaution en matière de sécurité.

Par conséquent, il est important que les cadres et les supérieurs participent également à la réponse, en prenant en compte les autres utilisateurs et en travaillant à la résolution du problème à l’échelle de l’organisation.

Concrètement, il est efficace de créer un manuel de réponse à la violence et de le partager entre les employés. Le manuel doit détailler les procédures d’intervention d’urgence, le système de rapport et les points de contact pour les consultations. De plus, tenir des réunions régulières pour partager des informations sur la violence et examiner les mesures de réponse peut également contribuer à l’amélioration de la qualité du service.

Résumé : Consultez un avocat pour les accidents du travail et les dommages-intérêts dans le domaine des soins au Japon

La violence sur le lieu de travail dans le secteur des soins au Japon est un problème grave qui affecte non seulement la santé physique et mentale du personnel, mais entrave également la fourniture de soins de qualité. Les formes de violence sont diverses, incluant la violence physique, psychologique et sexuelle, et le personnel est constamment exposé au risque de violence.

Les employés victimes de violence peuvent recevoir un soutien économique tel que les frais de traitement et les indemnités de congé grâce à la reconnaissance d’un accident du travail. De plus, une demande de dommages-intérêts peut permettre de compenser les dommages non couverts par l’assurance accidents du travail, tels que les dommages moraux pour souffrance psychologique.

Pour prévenir la violence et créer un environnement de travail sécurisé pour le personnel, des mesures multidimensionnelles sont essentielles. Comprendre l’état et les besoins des bénéficiaires et fournir des soins appropriés peut prévenir les actes de violence. Il est également important de renforcer la formation et le soutien du personnel.

Les soins sont un travail noble qui se déroule dans le cadre des relations humaines. En créant un environnement de travail sécurisé pour le personnel, il est possible de fournir de meilleurs soins aux bénéficiaires. Engagez-vous activement pour réaliser un lieu de soins sans violence, sûr et rassurant.

Référence : Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales du Japon | Mesures de prévention des accidents du travail dans les établissements sociaux[ja]

Présentation des stratégies de notre cabinet

Le secteur des soins aux personnes âgées est régi par diverses lois telles que la Loi sur l’assurance soins (Kaigo Hoken-hō), la Loi sur le bien-être des personnes âgées (Rōjin Fukushi-hō) et la Loi sur les sociétés (Kaisha-hō) au Japon. Le cabinet Monolith est conseiller juridique pour l’Association Nationale des Entreprises de Soins aux Personnes Âgées, ainsi que pour les prestataires de soins dans toutes les préfectures du pays, et possède une expertise approfondie dans les lois relatives aux activités de soins.

Domaines d’expertise du cabinet Monolith : Droit des entreprises IT et start-ups[ja]

Managing Attorney: Toki Kawase

The Editor in Chief: Managing Attorney: Toki Kawase

An expert in IT-related legal affairs in Japan who established MONOLITH LAW OFFICE and serves as its managing attorney. Formerly an IT engineer, he has been involved in the management of IT companies. Served as legal counsel to more than 100 companies, ranging from top-tier organizations to seed-stage Startups.

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