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Emploi de talents étrangers dans l'industrie IT et obtention de visa de travail (types, exigences, avantages du visa pour professionnels hautement qualifiés)

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Emploi de talents étrangers dans l'industrie IT et obtention de visa de travail (types, exigences, avantages du visa pour professionnels hautement qualifiés)

Le secteur de l’IT au Japon est confronté à deux défis majeurs : l’avancée rapide de la transformation digitale et une pénurie sérieuse de talents. Dans ce contexte, l’embauche de professionnels de l’IT hautement qualifiés venant de l’étranger n’est plus une simple option, mais une stratégie de gestion cruciale pour accélérer la croissance et l’innovation des entreprises. Cependant, pour employer des étrangers au Japon, il est essentiel de comprendre et de respecter les procédures légales. Au cœur de ces procédures se trouve le système de « statut de résidence » établi par la loi japonaise sur le contrôle de l’immigration et la reconnaissance des réfugiés. Selon ce système, les talents étrangers souhaitant travailler doivent obtenir le statut de résidence approprié en fonction de l’activité professionnelle qu’ils envisagent d’exercer. Cet article se concentre sur les deux principaux statuts de résidence les plus pertinents pour l’emploi de professionnels étrangers dans le secteur de l’IT, à savoir le statut pour « Compétences Techniques, Connaissances Humaines, Affaires Internationales » utilisé par de nombreux professionnels, et le statut de « Professionnel Hautement Qualifié », un système de préférence destiné aux talents exceptionnels. Nous expliquerons en détail les exigences légales de chaque statut de résidence, les procédures de demande et les avantages stratégiques que les entreprises peuvent en tirer, en nous appuyant sur des lois spécifiques.

Le fondement juridique de l’emploi des étrangers au Japon

La “Loi sur le contrôle de l’immigration et la reconnaissance des réfugiés” au Japon définit rigoureusement les activités que les étrangers peuvent exercer sur le territoire japonais en fonction de leur “statut de résidence”. Chaque statut de résidence spécifie clairement l’étendue des activités autorisées, et s’engager dans des activités rémunérées au-delà de ces limites est considéré comme un travail illégal. Cela représente un risque juridique significatif non seulement pour l’étranger employé mais aussi pour l’entreprise qui l’emploie. Par conséquent, il est absolument essentiel pour les entreprises de s’assurer que les talents qu’elles envisagent de recruter obtiennent le statut de résidence correspondant aux fonctions qu’ils sont censés exercer, en termes de conformité. Dans le secteur de l’IT, pour des postes spécialisés et techniques tels que le développement de logiciels, la conception de systèmes ou la gestion de réseaux, la plupart relèvent du statut de résidence “Compétences Techniques, Connaissances Humaines, Activités Internationales”. Ce statut de résidence est établi dans l’Annexe 1 de la même loi et constitue le cadre juridique de base pour l’emploi de professionnels de l’IT. En particulier, les postes techniques tels que les ingénieurs systèmes ou les programmeurs sont classés dans la catégorie “Compétences Techniques” de ce statut de résidence. 

Analyse détaillée du statut de résidence “Compétences techniques, connaissances en sciences humaines et affaires internationales” au Japon

Le statut de résidence “Compétences techniques, connaissances en sciences humaines et affaires internationales” englobe trois domaines d’activité, mais la catégorie “Compétences techniques” est au cœur de l’emploi des professionnels de l’IT.

Champ d’activité dans le domaine de la « technologie » sous le droit japonais

En vertu de la législation japonaise, les activités dans le domaine de la « technologie » sont définies comme des activités qui « nécessitent des compétences ou des connaissances techniques appartenant aux domaines des sciences physiques, de l’ingénierie ou d’autres sciences naturelles ». Cette définition juridique s’applique largement aux fonctions spécifiques liées à l’IT. Par exemple, les ingénieurs logiciels, les architectes systèmes, les analystes en cybersécurité, les ingénieurs réseau et les opérateurs CAO sont des exemples typiques de professions concernées. Il est important de noter que ces fonctions nécessitent des connaissances spécialisées acquises dans des institutions d’enseignement supérieur telles que les universités. En revanche, ce statut de résidence n’autorise pas les activités considérées comme du « travail simple ». Par exemple, il n’est pas permis de se consacrer principalement à des tâches qui ne nécessitent pas de jugement spécialisé, telles que la saisie de données sans évaluation professionnelle, l’installation physique d’équipements ou les fonctions de base d’un service d’assistance informatique. Cette distinction stricte entre les tâches spécialisées et le travail simple reflète les principes fondamentaux du système de statut de résidence au Japon. L’objectif de ce système est de combler les lacunes en personnel hautement qualifié sur le marché du travail national, et non d’introduire une main-d’œuvre bon marché. Par conséquent, l’approbation d’une demande de statut de résidence dépend largement de la capacité de l’entreprise à expliquer logiquement la spécialisation et la nature intellectuelle du poste proposé, en lien avec les qualifications académiques et l’expérience professionnelle du candidat.

Exigences légales pour l’obtention d’un statut de résidence au Japon

Pour obtenir le statut de résidence “Compétences, Connaissances en sciences humaines et Affaires internationales” au Japon, le demandeur doit répondre à des critères spécifiques établis par l’ordonnance ministérielle japonaise définissant les normes en vertu de l’article 7, paragraphe 1, point 2 de la “Loi sur le contrôle de l’immigration et la reconnaissance du statut de réfugié” (ci-après, “Ordonnance sur les normes”).

Critères académiques

Le critère le plus fondamental est que le candidat ait obtenu un diplôme d’une université nationale ou étrangère dans un domaine d’études lié à la profession qu’il souhaite exercer, ou qu’il ait terminé une école spécialisée au Japon. L’interprétation de la “pertinence” dans le domaine de l’IT est relativement flexible et n’est pas limitée à l’informatique ou aux sciences de l’information. Il est courant que des diplômes dans d’autres domaines scientifiques, tels que la physique ou le génie mécanique, soient également considérés comme suffisamment pertinents pour des postes tels que l’ingénierie logicielle. Cependant, si un candidat ne détient qu’un diplôme dans un domaine totalement non pertinent, tel que la littérature ou l’histoire, il sera généralement jugé qu’il ne répond pas à ce critère.

L’expérience professionnelle comme critère alternatif

Même si vous ne répondez pas aux exigences académiques, il existe un chemin alternatif. Si un candidat peut prouver, par des documents objectifs, qu’il possède plus de dix ans d’expérience professionnelle dans le domaine d’activité concerné, cette expérience peut être reconnue comme une alternative aux critères académiques. Cette expérience professionnelle doit être attestée par des documents officiels, tels que des certificats de travail délivrés par d’anciens employeurs, qui précisent la nature du travail effectué, le poste occupé et la durée de l’emploi. 

Mesures spéciales concernant les experts en IT sous le droit japonais

Le gouvernement japonais reconnaît l’importance du secteur de l’IT et a établi des mesures spéciales dans l’« Arrêté ministériel ». Si le demandeur a réussi un examen en technologie de traitement de l’information spécifié par le Ministre de la Justice ou détient une qualification pertinente, il sera considéré comme satisfaisant aux exigences de la catégorie « compétences techniques », indépendamment des critères habituels de formation académique ou de dix ans d’expérience professionnelle. Cela reflète la réalité du secteur IT où les compétences pratiques et les qualifications officielles sont parfois valorisées autant, sinon plus, que les diplômes académiques.

Exigences relatives à la rémunération

La législation japonaise stipule clairement que le montant de la rémunération perçue par les étrangers doit être égal ou supérieur à celui perçu par les Japonais exerçant des fonctions équivalentes. Cette exigence ne vise pas uniquement à prévenir les salaires injustement bas pour les travailleurs étrangers. Lors de l’examen par l’Agence des services d’immigration, le montant de la rémunération proposée sert d’indicateur important pour évaluer le niveau de spécialisation du candidat et la stabilité de gestion ainsi que la fiabilité de l’entreprise employeuse. Une rémunération significativement inférieure aux standards du marché peut susciter des doutes quant à la véritable spécialisation du poste ou à la solidité financière de l’entreprise pour soutenir ses employés, augmentant ainsi le risque de rejet de la demande. Par conséquent, la fixation de la rémunération n’est pas seulement une question contractuelle d’emploi, mais un élément stratégique déterminant pour le succès de la demande de statut de résidence. 

Guide pratique pour les entreprises : Procédures de demande de visa

Les procédures de demande de statut de résidence se divisent en deux grands processus, selon que l’étranger concerné se trouve à l’intérieur ou à l’extérieur du territoire japonais.

Principaux scénarios de demande

Lorsqu’une entreprise souhaite faire venir au Japon un talent résidant à l’étranger, elle agit en tant que mandataire pour demander la délivrance d’un “Certificat d’Éligibilité au Statut de Résidence” auprès du bureau régional de l’immigration compétent. Après l’obtention de ce certificat, le demandeur doit ensuite faire une demande de visa auprès de l’ambassade ou du consulat général du Japon dans son pays d’origine, ce qui constitue la procédure standard pour entrer au Japon. En revanche, lors de l’embauche de talents déjà présents au Japon sous un autre statut de résidence, tel qu’étudiant, l’entreprise doit effectuer une “Demande de Changement de Statut de Résidence” auprès du bureau régional de l’immigration.

Système de catégorisation des entreprises et documents requis au Japon

Les documents qu’une entreprise doit soumettre lors d’une demande ne sont pas uniformes pour toutes les entreprises. L’Agence des Services d’Immigration du Japon classe les employeurs en quatre catégories, en fonction de la taille de l’entreprise, de la présence ou non d’une cotation en bourse, et des antécédents fiscaux, entre autres critères. Selon cette catégorisation, la quantité de documents à fournir peut varier considérablement.

  • Catégorie 1 : Entreprises cotées sur une bourse de valeurs japonaise, entre autres (documents à soumettre minimisés).
  • Catégorie 2 : Organisations ou individus dont le montant total des taxes prélevées à la source sur les salaires de l’année précédente, tel qu’indiqué dans le tableau récapitulatif des déclarations fiscales légales, est de 10 millions de yens ou plus.
  • Catégorie 3 : Organisations ou individus dont le montant des taxes prélevées à la source de l’année précédente est inférieur à 10 millions de yens.
  • Catégorie 4 : Organisations ou individus qui ne correspondent à aucune des catégories précédentes (par exemple, les nouvelles entreprises, qui nécessitent le plus grand nombre de documents justificatifs).

Ce système de catégorisation fonctionne essentiellement comme un cadre d’évaluation des risques par le gouvernement. Les entreprises de la catégorie 1, étant cotées en bourse, sont considérées comme ayant une grande crédibilité sociale et une base de gestion stable, ce qui simplifie les documents à soumettre. En revanche, les entreprises de la catégorie 4, récemment établies, n’ayant pas de preuves objectives de la stabilité et de la continuité de leurs activités, ont la responsabilité de prouver leur fiabilité à travers une plus grande quantité de documents, tels que des plans d’affaires et des états financiers.

Documents principaux à soumettre

Pour une demande, il est nécessaire de fournir des documents concernant à la fois le demandeur et l’entreprise employeur.

  • Documents à préparer par le demandeur (communs à toutes les catégories)
    • Formulaire de demande (Demande de délivrance de certificat d’éligibilité au statut de résidence ou demande de changement de statut de résidence)
    • Photographie d’identité
    • Copie du passeport
    • Documents prouvant l’éducation et l’expérience professionnelle (certificat de diplôme, certificat d’emploi, etc.)
    • Curriculum vitae 
  • Documents à préparer par l’entreprise (variables selon la catégorie)
    • Catégorie 1 : Documents prouvant que l’entreprise est cotée en bourse, tels que des copies du rapport saisonnier.
    • Catégories 2 et 3 : Tableau récapitulatif des déclarations fiscales légales des salaires des employés de l’année précédente (copie avec le tampon de réception).
    • Catégorie 4 : En plus des documents de la catégorie 3, copie du certificat d’enregistrement de l’entreprise, copie des statuts, copie des documents de clôture des comptes de l’exercice précédent, documents clarifiant le contenu des activités (brochure de l’entreprise, etc.), copie du contrat de location des bureaux, etc.
    • Communs à toutes les catégories : Copie du contrat de travail ou de la notification des conditions de travail clarifiant le contenu du poste, la durée de l’emploi, le statut et le montant de la rémunération.

Lieux de dépôt des demandes et durées de traitement

Les diverses demandes doivent être déposées auprès du bureau régional de l’immigration, de ses succursales ou de ses bureaux décentralisés compétents pour le lieu d’établissement de l’entreprise. Les formulaires de demande peuvent être téléchargés depuis le site web de l’Agence des Services d’Immigration du Japon (https://www.moj.go.jp/isa/applications/status/gijinkoku.html).

Les périodes de traitement standard publiées par l’Agence des Services d’Immigration du Japon sont d’un mois à trois mois pour les demandes de délivrance du certificat de qualification de résidence et de deux semaines à un mois pour les demandes de permission de changement de statut de résidence. Cependant, il s’agit uniquement de délais indicatifs et la durée du traitement peut varier en fonction de la concentration des demandes pendant certaines périodes ou de la complexité des cas individuels.

Visa pour professionnels hautement qualifiés : sécuriser un avantage stratégique au Japon

Le statut de résidence de “professionnel hautement qualifié” a été créé pour accueillir activement des talents étrangers dotés de compétences exceptionnelles, attendus pour contribuer à la croissance économique et à l’innovation au Japon. Ce système utilise un barème de points qui évalue les candidats sur la base de leur formation académique, expérience professionnelle, revenu annuel, âge, réalisations de recherche, etc., et accorde la qualification si le total atteint un certain seuil (70 points). Les spécialistes tels que les ingénieurs en informatique relèvent de la catégorie “professionnel hautement qualifié de type 1”, qui cible les “activités spécialisées de haut niveau”.

Dans le calcul des points, un haut niveau d’éducation, comme un master (20 points) ou un doctorat (30 points), une longue expérience professionnelle (par exemple, plus de 10 ans pour 20 points), un revenu annuel élevé (variable selon l’âge), et la jeunesse (par exemple, moins de 30 ans pour 15 points) sont particulièrement valorisés. De plus, des points bonus sont ajoutés pour les diplômés d’universités japonaises, les détenteurs d’un certificat de compétence en langue japonaise niveau N1, et les diplômés d’universités figurant dans le classement mondial des meilleures universités, permettant ainsi à des talents diversifiés d’être éligibles. La demande se fait en joignant à la demande habituelle de statut de résidence, une feuille de calcul des points et les documents justificatifs pour chaque critère.

Analyse comparative entre le visa de travail ordinaire et le visa pour professionnels hautement qualifiés au Japon

L’obtention d’un visa pour professionnels hautement qualifiés au Japon a une signification stratégique qui va au-delà de la simple acquisition d’un statut de résidence. Les mesures de faveur associées à ce visa constituent un outil puissant pour les entreprises afin d’attirer et de retenir sur le long terme des talents de niveau mondial. Par exemple, la possibilité d’obtenir rapidement un permis de résidence permanente et les conditions flexibles pour l’accompagnement familial permettent aux talents étrangers de construire une base de vie stable au Japon. Cela réduit le risque de fuite des talents et prévient la perte de connaissances et d’expérience accumulées au sein de l’entreprise, ce qui est un avantage majeur en termes de réduction des coûts de recrutement et de formation.

CaractéristiquesCompétences en technologie, connaissances en sciences humaines, affaires internationalesProfessionnel hautement qualifié de type 1
Durée de résidence1 an, 3 ans ou 5 ans (généralement 1 an pour la première attribution)Attribution systématique de la durée maximale de « 5 ans »
Étendue des activités autoriséesLimitée au cadre du statut de résidence autorisé (ex. : « technologie »)Activités complexes couvrant plusieurs statuts de résidence possibles (ex. : ingénierie et gestion d’entreprises associées)
Exigences pour le permis de résidence permanenteEn principe, plus de 10 ans de résidence continue au Japon sont nécessairesRéduction de la période de résidence à 3 ans (réduite à 1 an pour les scores de 80 points et plus)
Emploi du conjointLe conjoint doit remplir les conditions d’éducation et d’expérience professionnelle pour obtenir son propre visa de travailEmploi possible dans un large éventail de professions spécialisées sans avoir à remplir les conditions d’éducation et d’expérience professionnelle
Accompagnement des parentsEn principe, non autoriséAutorisé sous certaines conditions (revenu annuel du ménage de plus de 8 millions de yens, éducation d’un enfant de moins de 7 ans, etc.)
Emploi de domestiquesEn principe, non autoriséAutorisé sous certaines conditions (revenu annuel du ménage de plus de 10 millions de yens, etc.)
Procédure d’examen de la demandeDélai de traitement standard (de 1 à 3 mois)Traitement prioritaire (en cas de demande de certificat d’éligibilité, l’objectif est de 10 jours ouvrables après réception)

De plus, les individus ayant travaillé en tant que « professionnel hautement qualifié de type 1 » pendant plus de trois ans peuvent demander à changer pour le « professionnel hautement qualifié de type 2 ». Une fois ce statut accordé, la durée de résidence devient « illimitée » et presque toutes les activités professionnelles sont autorisées.

Points de vigilance juridiques dans les contrats de travail au Japon

Lors de l’embauche de talents étrangers, le contrat de travail est un document crucial qui constitue la base de la demande de statut de résidence et doit être rédigé avec une attention particulière, en tenant compte à la fois du droit du travail japonais et de la loi sur l’immigration et le contrôle des nationalités.

Il est essentiel d’inclure dans le contrat une clause de condition suspensive liée à l’obtention du statut de résidence, telle que : “Ce contrat de travail prendra effet lorsque l’employé aura obtenu le statut de résidence nécessaire au Japon pour exercer les fonctions spécifiées dans le présent contrat.” Cette clause est indispensable pour éviter que l’entreprise ne soit tenue de respecter une obligation d’emploi dans le cas où la demande de statut de résidence serait refusée. De plus, les conditions de travail telles que la description du poste, le titre professionnel et le montant de la rémunération, qui sont stipulées dans le contrat de travail, doivent correspondre exactement aux informations fournies dans la demande de statut de résidence. Même une petite divergence peut remettre en question la crédibilité des informations fournies et avoir un impact négatif sur l’évaluation de la demande. Concernant la rémunération, comme mentionné précédemment, elle doit être égale ou supérieure à celle des employés japonais occupant des postes équivalents, et ce niveau doit être clairement indiqué dans le contrat.

Conclusion : Sécuriser des talents IT d’excellence grâce à un soutien juridique spécialisé

Comme exposé dans cet article, le processus d’emploi de professionnels IT étrangers au Japon est mené conformément à un cadre juridique clair. Le statut de résidence “Compétences Techniques, Connaissances Humaines, Activités Internationales” constitue la voie standard, tandis que le visa “Compétences Professionnelles Avancées” représente une option stratégique qui peut offrir aux entreprises un avantage significatif dans la compétition mondiale pour l’acquisition de talents. Pour naviguer efficacement dans ces systèmes juridiques complexes et mener à bien le processus de demande, une connaissance juridique précise et une expérience pratique sont essentielles. Des erreurs dans les procédures peuvent directement entraîner la perte d’opportunités pour sécuriser des talents précieux. Le cabinet Monolith Law Office possède une vaste expérience dans l’assistance à l’obtention de statuts de résidence pour l’emploi d’étrangers, au service d’une multitude de clients d’entreprises, notamment dans le secteur IT. Notre cabinet compte plusieurs experts qui sont des locuteurs natifs de l’anglais et possèdent des qualifications d’avocats étrangers, ce qui nous permet de fournir un support juridique complet avec une perspective internationale. De l’élaboration d’une stratégie de recrutement juridiquement solide à la préparation minutieuse des documents de demande, en passant par les négociations avec les autorités, nous nous engageons à soutenir pleinement votre entreprise pour sécuriser les talents de classe mondiale nécessaires pour réussir sur le marché global.

Managing Attorney: Toki Kawase

The Editor in Chief: Managing Attorney: Toki Kawase

An expert in IT-related legal affairs in Japan who established MONOLITH LAW OFFICE and serves as its managing attorney. Formerly an IT engineer, he has been involved in the management of IT companies. Served as legal counsel to more than 100 companies, ranging from top-tier organizations to seed-stage Startups.

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